Le rapport préliminaire concernant la mort de l’ours Cachou (rappel des fait ICI) conclut à une mort suite à une bagarre avec un autre mâle suivie d’une chute de 40 mètres. FERUS publie le communiqué des organisations FAPAS, Fédération des Ecologistes de Catalogne, Ipcena-EdC et Seo Birdlife dont vous trouverez une traduction automatique ci-dessous. A ce stade, FERUS attend les résultats des analyses toxicologiques.
Communiqué de presse, 15 avril 2020
Les organisations Ipcena-EdC, Seo Birdlife Catalunya, FAPAS et la Federació Ecologistes de Catalunyaa, après avoir appris par le Conseil général d’Aran, et certains moyens de communication, les données sur les causes possibles de la mort de l’ours Cachou, à partir d’un Rapport préliminaire de l’autopsie fourni par le service d’échopathologie de la faune de l’UAB.
Le rapport susmentionné indique qu’au début et à titre préliminaire, ils considèrent que l’ours Cachou aurait pu mourir de deux causes fondamentales, la lutte avec un autre ours et la chute d’une chute d’environ 40 mètres, malgré ces opinions qui ne sont que préliminaires, les responsables de l’autopsie, déclarent que: (SIC) que d’autres tests seront effectués pour exclure d’autres causes possibles de son décès, et que les tests prendront plusieurs semaines pour avoir le rapport complet.
Les organisations qui publient ce communiqué de presse considèrent et déclarent: Qu’ayant consulté des experts sur l’étude et la conservation des ours, ce rapport préliminaire est peu probable sous les aspects suivants.
1º- Il n’est pas crédible ni n’a aucune base technique, d’affirmer que l’ours Cachou a pu se battre avec un autre ours, fondamentalement parce que, dans toute confrontation, les principales agressions sont dirigées vers la tête, qui avec de grandes griffes et aussi des morsures qui produisent blessures graves au visage, aux oreilles et au museau, ce qui n’est pas le cas étant donné le bon état du visage de l’ours découvert par les agents ruraux.
2º- Il n’est pas crédible non plus que la version qu’ils exposent dans le rapport préliminaire, au moment de justifier la mort de Cachou, d’être tombée d’une forte dénivellation de 40 mètres. S’il était vrai une chute dans une section de 40 mètres, avec une forte baisse, dans cette circonstance avec un ours dont le poids, qui peut être supérieur à 200 kilos, les coups subis par l’inertie du poids, auraient produit très probablement, fractures aux extrémités, rayures dans le boîtier émetteur GPS du collier, entre autres. Le même ours, après être tombé dans les conditions décrites, a ensuite gravi une pente difficile d’accès jusqu’à sa mort, cette coïncidence n’aurait pas pu être produite par les preuves présentées et le bon état du corps de l’ours.
3º- La technique dissuasive d’application de fongicide sur les corps d’animaux supposément tués par l’ours, données collectées à partir d’informations du Département du Territoire et de la Durabilité de la Generalitat, est totalement inappropriée et téméraire, car elle n’est pas incluse dans le protocole , du ministère 2019, et c’est donc une mesure irresponsable, non seulement pour l’ours lui-même, mais pour le reste de la faune qui consomme des charognes et qui, à des doses plus faibles, peut provoquer la mort, des espèces telles que le vautour barbu, l’aigle royal, parmi tant d’autres.
4º- L’une des images fournies par les agents environnementaux de la vallée d’Aran et les agents ruraux de la Generalitat, au moment de la découverte du cadavre, est celle du visage de l’ours avec le sourire sardonique typique, un rictus caractéristique chez les mammifères tués par empoisonnement. La photo des agents est incluse.
Pour tout ce qui précède, les organisations de ce communiqué de presse, demandent:
Cela étant donné les informations transmises par le Conseil Generau du Val d’Aran, faisant référence au rapport préliminaire de la mort de l’ours Cachou, l’autopsie complète de tous les organes de l’ours doit être scrupuleusement pratiquée.
Ne donnez pas d’informations non fondées et ne manquez pas de conclusions concluantes.
Demander instamment de faire une deuxième analyse des restes de l’autopsie au centre de référence CAD de Malaga, spécialisé dans ce type d’autopsie, qui, étant du réseau public, le ferait sans frais.
Nous nous réservons le droit de déposer une plainte pénale pour clarifier les événements malheureux, en particulier en raison de la procédure que nous considérons comme étant prétendument entièrement irrégulière. Nous demandons que le rapport des résultats de l’autopsie complète nous soit envoyé.