C’est la génétique qui est venue apporter la preuve formelle : les résultats ADN ont montré que les prédations commises sur un troupeau à Holzem en juillet dernier étaient bien l’œuvre d’un loup. L’animal avait aussi été photographié.
Il ne vient pas de l’Allemagne voisine mais est originaire de la lignée italo-alpine.
Le loup est protégé au Luxembourg depuis 2016 et un plan d’action, comprenant l’indemnisation des dégâts, a été développé en début d’année.
L’espèce avait disparu du pays depuis 1893.